Un bizarre dessin de ponts...
".../... Des ciels gris de cristal. Un bizarre dessin de ponts, ceux-ci droits, ceux-là bombés, d’autres descendant ou obliquant en angles sur les premiers, et ces figures se renouvelant...
SuiteCatégorie : Voyage
Je veux dédier ce poème...
".../... A celle qu'on voit apparaître Une seconde à sa fenêtre Et qui, preste, s'évanouit Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure épanoui." "Les...
SuiteIl est à plaindre, l’homme qui n’a jamais rencontré dans sa vie...
".../...L'Empire craquait, les Barbares se déplaçaient... Que faire, sinon s'évader du siècle? Heureux temps où l'on avait où fuir, où les espaces solitaires étaient accessibles et...
SuiteLe lion et le vent...
".../... Toi, tu es pareil au vent et moi, je suis comme le lion. Tu déchaines la tempête, le sable qu’elle soulève brûle mes yeux et la terre est desséchée. Je te défie par mes...
SuiteMieux que loin...
".../...Pour faire l’esquisse de la mosquée, je m’assis dans la rue, en face, et je m’entourai avec ma grande couverture, que je repliai sur mes genoux ; je tenais à la main une feuille...
SuiteEtre né quelque part...
".../...Il y a longtemps, je lisais des livres et dans l'un d'eux quelqu'un avait écrit : J'aimerais arriver à un endroit d'où je ne voudrais pas revenir. Cet endroit-là, tout le monde le...
SuiteAu seuil du monde des génies...
".../...Pendant des jours, nous marchions dans la demi-obscurité d'épaisses forêts vierges, puis, soudain, une éclaircie nous dévoilait des paysages tels qu'on n'en voit qu'en rêve. Pics...
SuiteLa condition originelle...
".../... Si mes expéditions n’avaient qu’un but, ce serait celui-ci : montrer que le lien avec la nature est le seul moyen pour l’être humain de sauver sa peau. J’ai passé la moitié...
SuiteD'abord un enfant...
".../... Ils sont repartis d'au-dessous du barreau le plus bas de l'échelle, et ils ont refait toute la grimpette, ils sont retombés en route, ils ont remonté encore, et retombé, et,...
SuiteLe sourire...
".../... les poètes comme Paul Valéry y voient « le premier luxe de l’être. Ce n’est plus le besoin qui pleure et qui crie. C’est l’ouverture de l’inutile besoin de communiquer...
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