Récemment (en février 2020) « Le Monde » titrait : « Darryl Hall, le gentleman du swing » et le journal de développer : « Darryl Hall, la cinquantaine aux airs d’adolescence, enveloppe sa contrebasse avec classe, élégance, impeccable sur la justesse et le tempo, ce sourire radieux quand il joue, l’hypothèse du bonheur …
Contrebassiste des plus sollicités – il a joué et enregistré avec toute la planète du jazz. De Betty Carter à Archie Shepp, on le sait, mais aussi avec des artistes plus rares comme Mary Stallings avec qui il enregistre (Geri Allen au piano) en 2005. Et Darryl Hall s’explique : « C’est une façon de remettre au-devant de la scène cet élément essentiel du jazz trop négligé qu’est le swing : joué à un bon niveau, il est tout aussi moderne que des concepts non swingants. » Excellente nouvelle ! »